Message d'hiver Bernard Rodenstein

Bonjour Monsieur Rodenstein ! Personnellement, je ne parlerai pas de votre texte de ce matin que je trouve très émouvant de par son côté lyrique. En revanche, j'évoquerai votre attitude mesurée et courageuse concernant Johnny que je salue. Je suis effaré par ce que je viens de lire dans un grand journal vespéral en ce dimanche. Le chanteur n'est même pas enterré que déjà on commence à évoquer ses anciens démêlés avec le fisc, son côté "Panier percé" etc, etc. Que du négatif. Et, le respect dû au défunt, à sa vie privée, à sa famille, on en fait quoi ? A quoi cela sert d'organiser  des funérailles nationales si moins de 24 heures après on commence, pardon pour cette expression triviale, à DÉZINGUER A TOUT VA ???? On brûle ce qu'on a adoré la veille. Terrible et outrageante INCONSTANCE de l'être. Je terminerai en citant Spinoza: "Ni rire, ni pleurer, mais (TENTER) de comprendre" afin de préparer la voie à : "...une intériorité nouvelle, vierge de tout trouble, propice à un nouvel envol vers les problèmes de la vie. " Bon dimanche à Toutes et à Tous !

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